C’est la rentrée et la période du choix des loisirs pour les enfants comme pour les adultes.
L’offre est immense et grâce aux associations sportives et culturelles, on peut pratiquer beaucoup d’activités toute l’année scolaire pour des coûts très raisonnables, parfois moins de 100€ pour l’année.
D’autres activités sont réputées plus couteuses et sont elles-mêmes soumises à l’inflation des
fournitures, comme par exemple l’achat des fourrages et de l’alimentation pour les chevaux et poneys, le prix de l’électricité pour éclairer les manèges et carrières. Pour ce type d’activité peu subventionné par les collectivités publiques, la question de l’augmentation tarifaire se pose avec la délicate équation de rester accessible au plus grand nombre.
Alors comment le professionnel peut-il s’adapter ?
Il s’agit de produits dérivés pour réapprendre aux humains le contact avec la nature et la vertu de la constance et de la régularité des soins. Soigner un cheval ou un poney, c’est aussi prendre soin de soi-même et d’autrui…
Finalement, l’idée est de transformer tout ce qui fait la vie d’un centre équestre ou poney-club en valeur ajoutée qui renforce le lien entre les humains et les animaux et la nature.
Dans cette période où le public est en recherche de sens, où le bien-être animal est un sujet de
société, où la relation humains-animaux-nature est à préserver, il y a là pour les centres équestres de quoi compléter leur offre d’équitation par des expériences accessibles au plus grand nombre.
Reste à en faire la promotion…
Laurence MORY – PARCOURS CONSEIL